Quelle époque, il n’y a même pas 10 mois, personne n’aurait songé à une telle situation et cela nous rappelle que l’espèce humaine, si développée soit-elle, n’est pas à la merci de son environnement.
Bref, nous sommes en plein dedans et nous ne pouvons qu’y faire face avec les moyens du bord et nos connaissances en la matière . En deux mots, il va falloir faire avec et pour un certain temps. Pas vraiment drôle, si ce n’est pour certains d’entre nous, tout simplement tragique.
Rester optimiste est encore la meilleure position à avoir et comme certains aiment à le rappeler, quand la tête va bien, le reste suit. Adoptons cette posture pour traverser cette crise sanitaire du mieux qu’on le puisse. D’ailleurs, l’image ci-dessus est un clin d’œil à ce qui vient d’être dit.
Alors, juste à fermer les yeux, couper le son et s’évader dans sa tête. Imaginez, s’imaginer et se mettre en scène… Nous y sommes, la plage est déserte, la mer agitée, les spots nous magnétisent et le bruit dans les palmes nous transportent. Le décor est planté, l’évasion est palpable, nous sommes fin prêts pour ce voyage cérébral.
Waikiki beach, allongés, bronzés … Elle, dans son bikini minimaliste et son paréo hawaïen, lui, en chemise hawaïenne ouverte. Les surfs colorés en guise de mobilier de plage, les verres de Blue Hawaiian trainent à leurs cotés et le soleil darde ses rayons bienfaiteurs sur leur peau hâlée. C’est beau, agréable, presque magique.
Ils échangent des mots, des cris, des rires, en fait les choses simples de la vie. Les vagues se font plus sonores, les palmiers ondulent, il est temps de se jeter à l’eau. Le Pacifique est bien là, dans toute sa splendeur. Çà y est, ils ont pris la vague, s’éloignent et disparaissent. Quel incroyable moment d’évasion.
Alors, juste à rouvrir les yeux, remettre le son et reprendre le cours de la vie. Certes, rien n’a vraiment changé, mais ces moments simples, accessibles à tous, ces échappatoires salvateurs, ne peuvent être que bénéfiques.
A vos évasions…
Jean.Paul Henry