Vêtements et chemises en provenance d'Hawaï et des Etats-Unis

La Dolce Vita par CouleurTropiques

dolce-vitaLa dolce vita ou la douceur de vivre, c’est le ressenti de toute l’équipe Couleurtropiques qui est allée se faire voir ailleurs du coté de la ville éternelle. 10 ans que le staff de votre site préféré n’avait pas pris un jour de congés en période estivale, 10 ans que tous se cantonnaient au frima des vacances hivernales. A force de taper sur notre DG et sur notre présidente bien aimée, nos avons décroché  une semaine en plein été sous le soleil romain. Désolés pour la gène occasionnée, mais avouez qu’une semaine aoutienne en une décennie, c’est bas bésef …

Quand la chemise hawaïenne se la fait « rital », Rome n’a qu’a bien se tenir et pour le coup nous n’avons pas été déçus. Mon Dieu que Rome est belle, grandiose, variée, animée. Un musée à ciel ouvert où il fait bon flâner sans but précis, tant les monuments et autres curiosités vous tombent dessus sans que vous ayez à sortir le moindre plan. Ce n’est pas le touriste qui visite, c’est Rome qui s’offre à lui avec ses multiples édifices (surtout religieux) ses ruelles étroites et grouillantes, ses innombrables piazza et autres fontaines et cette ambiance indescriptible mais fort agréable.

Du château St Ange à la place St Pierre, du Forum romain au Colisée, du Panthéon au Capitole, du monument Victor Emmanuel II à la fontaine de Trévi, nous feuilletons au fil de l’eau un immense livre d’histoire en 3D. Un livre presque magique qui éveille sans cesse notre curiosité. Une leçon sur un passé que nul professeur, même le plus talentueux, nous avait dispensé. Magnifique.

Rome, c’est aussi des randonnées dans des lieux où le pin parasol  est pape. De la promenade du Janicule au parc de la Villa Borghèse (à 2 pas de la villa Médicis), c’est sur les hauteurs, à l’abri d’un carré de verdure que vous contemplerez la ville de Rome et ses multitudes de clochers, d’obélisques et autres coupoles. Une vue à couper le souffle où s’égrènent les siècles. Et puis, une glace en bouche, nous irons nous perdre dans les 80 hectares de végétation. Génial.

Il est temps pour nous, de nous restaurer, d’aborder la cuisine italienne, ses pasta, ses pizzas, ses charcuteries, ses desserts  sans oublier ses vins de caractère (rouge, rosé, blanc). Gare au Kg, il ne faudrait pas affoler la balance au retour et rester coincer dans les rayons étroits des entrepôts, dixit notre vénérée présidente. Elle ne perd pas la boule, après un grand vert de Pecorino, même si le thermomètre frise les 40°.

Rome est fabuleuse, mais notre direction veille, pas un jour de rab. C’est à regret que nous refaisons le chemin à l’envers. Dès aujourd’hui, c’est la tête emplie de souvenirs que nous reprenons le traintrain quotidien, gonflés à bloc pour mieux vous servir.

Dolce Vita, si si.