Le paréo c’est un peu le morceau d’étoffe, qui, quand on y a gouté, devient vite indispensable. Des rondeurs à cacher, une peau en manque de soleil à protéger, un complexe à masquer … Ouf, Le paréo est là, avec les couleurs en plus. Ambiance été.
Mais le paréo, c’est déjà toute une histoire qui trouve son origine en Polynésie. Le paréo était même porté par les hommes, noué autour de la taille avant que les femmes ne s’en emparent pour des tenues beaucoup plus élaborés.
C’est vrai, le paréo se porte de manières différentes, selon l’envie du moment :
– Simplement noué autour de la taille, facile avec les paréos dits de taille mini.
– Enroulé autour du buste masquant généreusement le corps.
– Sur l’épaule de façon asymétrique, un brin négligé mais un tantinet glamour.
– Façon robe, noué autour de la nuque, une manière chique et classique.
– Et pourquoi pas, votre idée du moment, dont seule vous avez le secret
Différent types de paréos sont proposés. Certes, bien peu sont fabriqués sur les bords des lagons tahitiens, même si parfois, cela est indiqué … c’est plutôt du coté de Bali, en Indonésie que sont fabriqués les paréos dits Batik* (technique d’impression particulière).
D’ailleurs, le Batik indonésien a été inscrit en 2009 par l’UNESCO sur la liste représentative du patrimoine immatériel de l’humanité.
Chez CouleurTropiques.com, nous proposons, justement ce type de paréos. Des paréos aux dimensions généreuses confectionnés dans une fibranne de qualité, dessinés et teinté dans la plus pure tradition indonésienne. Par souci du détail, tous nos paréos sont surjetés pour une longévité accrue.
Le paréo étant un produit issu de l’artisanat balinais, des petits défauts de teinture qui n’enlèvent rien à leur qualité peuvent parfois être présents, signe du fait main.
Visitez notre rayon « paréos » et mettez des couleurs dans votre été …
*Le principe du batik consiste (source wikipedia.org):
Le procédé est aussi appelé « en réserve de cire », ou « coloration par épargne ».
Des procédés complémentaires peuvent être utilisés : emploi d’un fer chaud (au motif parfois complexe : dragon par exemple) pour ôter la cire aux emplacements d’une coloration (souvent pour faciliter le copiage de motifs répétitifs) – simple brisure de la cire pour obtenir de fines lignes – grattage partiel pour obtenir des dégradés, etc.
Au final on obtient un tissu où se mêlent différents tons ou contrastes juxtaposés ou superposés, formant toutes sortes de motifs.