Quand le staff de CouleurTropiques s’échappe, c’est bien souvent sous des latitudes, disons : Tropicales. Cette année, contexte COVID19 oblige, nous sommes allés nous faire voir ailleurs, sur une petite île, pas vraiment du Pacifique ou de l’Océan indien, non, à 2 pas et à quelques encablures de La Rochelle via un pont magnifique : l’Ile de Ré. Un petit bout de terre où toute l’équipe a pu regonfler les accus avant que les températures ne cessent de nous abreuver d’un certain bien être.
Couché de soleil sur l’île de Ré
Et la chemise Hawaïenne dans tout cela, et bien elle a brillé sur le port de Saint Martin, de La Flotte, de Sainte Marie et d’ailleurs. Même les ânes en culotte étaient vert de jalousie devant tant de couleurs, Je vous dis pas comme ils faisaient grise mine. Obligé de les câliner et de leur chuchoter à l’oreille quelques mots réconfortants. Ah ces bourricots, trop sensibles.
Les marais salants de l’île de Ré
Et quel bonheur de découvrir en tandem vêtus de nos authentiques chemises hawaïennes, cette île magnifique aux trésors insoupçonnés. Mieux, quelques huitres, un petit vin d’ici , voire une bière locale… A vous faire oublier le Manapua ou autres destinations exotiques.
Et oui , il aura fallu attendre 37 ans pour que les fameuses Chemises Hawaïennes signées Paradise Found et portées jadis dans la série Magnum par Tom Selleck, refassent leur réapparition sur nos écrans dans le film « Le flic de Belleville ».
Mieux, c’est Omar Sy qui est devenu le nouvel ambassadeur de cette chemise mythique et elle est génialement bien portée. Il n’a pas à rougir devant la classe de notre Thomas Magnum. Certes, c’est un film et non une série, mais que c’est bon de revoir ces chemises hawaïennes tout en haut de l’affiche.
C’est génial. Et si nous parlions du film, mieux, ci dessous le synopsis* du film le « Flic de Belleville »:
Originaire du quartier de Belleville, Sebastian Bouchard, dit « Baaba », est devenu officier de police. Il est bien décidé à rester dans son quartier, au grand désespoir de sa copine souhaitant aller vivre ailleurs. Baaba a du mal à s’éloigner de sa mère, légèrement envahissante.
Un soir dans un restaurant, Roland, son ami d’enfance, est assassiné sous ses yeux. Roland était officier de liaison du Consulat général de France à Miami et était de passage à Paris pour une enquête sur un trafic de stupéfiants. Baaba décide alors de se rendre en Floride, en emmenant avec lui sa mère, qu’il n’arrive toujours pas à laisser seule. À Miami, il est encadré par un flic local blasé et irascible, Ricardo Garcia. Les deux hommes vont alors être forcés de travailler ensemble malgré tout ce qui les sépare.
Un film savoureux, plaisant qui, comme l’écrit Allociné est sans doute à la croisée de « L’Arme Fatale » et de l’ Emerdeur ». Tout un programme.
Bref, un film distrayant et plein d’humour qui ravira un large public et qui met en lumière la chemise hawaïenne, et pas n’importe lesquelles, puisque les modèles portés, Jungle Bird et Star Orchid sont signés d’un grand nom de cette chemise mythique, Paradise Found.
Amoureux qui ne l’a pas été, qui ne l’est pas? Que ce soit avoué ou en secret. En tout cas, cette coutume païenne a su trouver sa voie au cours des âges et le saint patron des amoureux planter le décor le 14 février. Ne boudons pas notre plaisir, nous allons tous pouvoir faire preuve d’imagination pour attiser un peu plus la flamme qui brûle en nous.
Nombreux sont ceux qui s’y sont essayés au travers de poèmes, de chansons, de sculptures … Bref, la Saint Valentin, l’amour, éveillent les sens.
Véronique Sanson se dit « Amoureuse », Léopold Nord nous serine les oreilles avec « C’est l’amour« , Francis Cabrel « L’aime à mourir » … dans un autre registre, Louis Aragon nous parle d’amour dans « Nous dormirons ensemble » mis en musique par Jean Ferrat. Plus d’un siècle auparavant, Rosemonde Gérard couchait « L’éternelle chanson » et son inaltérable « comme chaque jour je t’aime davantage, aujourd’hui plus qu’hier et bien moins que demain ». Bref, l’amour, dans tous les arts excite l’imagination.
Dans quelques jours, vous allez pouvoir afficher vos sentiments, offrir à votre amoureux(se) un présent venu du cœur et être remercié(e) d’un fougueux baiser. Alors, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, William Sheller se mettra au piano et vous transformera en « Un homme heureux ». Si l’ambiance est là, peut être pousserez-vous les meubles pour vous lancer dans « un vieux Rock’n’roll » . Mieux, s’ensuivra un slow, plus calme, plus langoureux et c’est alors un « Still loving you » qui vous embarquera…
Alors, n’attendons pas de radoter, d’être faiblis pour lui dire tout simplement « Je t’aime »