Vêtements et chemises en provenance d'Hawaï et des Etats-Unis

Ils nous boycottent … SI Si

cestnon

C’est fou comme parfois l’humain peut être ingrat  et faire preuve de bien peu de considération envers les autres. C’est encore pire, quand l’incompréhension s’en mêle.

Chez CouleurTropiques, dans le cadre de notre référencement, nous essayons d’être présents sur les différents moteurs de recherches afin de proposer aux internautes, toujours plus nombreux, des articles aux couleurs du soleil.

En général, les annuaires et autres comparateurs sans contrat commercial (gratuits) vous acceptent facilement si votre site, votre entreprise, respectent, et d’une la législation et de deux, que les produits vendus ne soient  pas prohibés.

Et puis, il y a malheureusement  des sites à l’image du site tahitienfrance.free.fr où le gestionnaire du site n’a jamais répondu à nos demandes récurrentes, et qui, suite à un mail plus incisif, nous a bien fait comprendre que nous étions les mal venus.

C’est d’autant plus incroyable,  que ce superbe site collant parfaitement à l’image véhiculé par CouleurTropiques, nous ignore totalement, alors que nous sommes revendeur d’articles conçus et/ou fabriqués en Polynésie. Le Monoi, les tongs en sont la preuve bien réelle.

A croire que nous devons déranger. Mais tout de même, les internautes sont au final, tributaires de quelques personnes qui décident de ce qui est bon ou mauvais pour eux.

Mais, ce qui a fait déborder la vase, c’est que nos quelques commentaires non commerciaux sur leur page FaceBook étaient systématiquement supprimés. D’ailleurs, nous pensions à un problème, puisque nous les réécrivions. Au bout d’une semaine, les quelques commentaires avaient disparu et nous étions bannis de leur page Facebook. Quelle belle leçon de tolérance de la part du gestionnaire de la page.

Cette mise à l’écart, sans aucune sommation, dans une totale incompréhension, méritait un mail. Mail que nous vous communiquons en totale transparence.

Eh bien … Aucune réponse, silence radio, motus et bouche cousue.  Nous frisons l’incorrection.

Certes, le ou les gestionnaires de leur site et/ou de leur page Facebook ont toute  liberté d’accepter ou de refuser, mais pas dans ce dernier cas, de manière arbitraire. Pire, par leurs agissements, ils brident leurs internautes.

Pourquoi ??? Nous n’avons pas la réponse, mais nous pouvons supposer, que quelques uns veulent conserver les quelques avantages que leur offre un certain monopole.

Chez CouleurTropiques, nous sommes pourtant des fervents amoureux des iles ensoleillées …

Tout simplement  navrant.
    

Nous laissons un droit de réponse via notre blog*.

Mail du 26/10/2014

Monsieur,

Notre site couleurtropiques.com a toujours été refusé sur votre site Tahitienfrance.fr dans votre rubrique « Boutiques » alors que nous distribuons des produits polynésiens à l’image du monoi, des tongs Tahitian Move et bien d’autres articles aux couleurs du soleil.
Nous n’avons jamais réellement compris pourquoi nous étions les mal venus alors que l’ensemble de nos produits peuvent intéresser la communauté polynésienne.

Nos quelques interventions, sur votre Facebook,  sous forme de  commentaires à caractère non commercial (d’autres commentaires émanant d’autres sites le sont)  sont systématiquement supprimées quelques jours, voire quelques heures après leur rédaction.

Aujourd’hui,  vous nous avez ôté  toute possibilité d’écrire un commentaire sur votre page FB et  de « liker »  ce qui va à l’encontre même de l’existence de Facebook.

Que pensez de tout cela ?

Pourquoi ne pas laisser à l’internaute le choix de se faire une idée par lui-même, de surfer sur un site plutôt que sur un autre, de lui laisser découvrir de nouvelles pages, en deux mots de lui laisser sa liberté de jugement ?

Pourquoi, dans des pages qui sont censées apporter de l’information et des « bons plans »  à vos internautes, plus exactement aux internautes, vous occultez, pour des raisons qui vous sont propres, une partie des données ?

Autant de questions, que notre étique peine à comprendre.

Une évidence, Chez CouleurTropiques,  nous voyons toujours, le coté ensoleillé des choses.

Aloha

 

*Le droit de réponse permet, en France, à toute personne, physique ou morale, « nommée ou désignée » dans un média de faire publier sa version des faits. Ce droit existe en France, en fonction des médias, depuis la loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881, prévu à l’article 131, depuis la loi de 1974 sur la communication audiovisuelle, via l’article 6 de sa version remaniée en 1982, et depuis Loi pour la confiance dans l’économie numérique et ses décrets d’application de 2007.