Le savon exotique par Galeo, c’est avant tout des parfums venus d’ailleurs et des sensations toutes aussi dépaysantes. Litchi ou vanille, Monoi tiare ou fruit de la passion, mangue ou papaye, les senteurs sont multiples. A chacun son savon, son petit pavé Galeo parfumé.
Chez CouleurTropiques, nous craquons à chaque nouvelle senteur essayée, et la douche devient aussi dépaysante que les plages de Bora Bora. C’est vous dire si nous adorons.
Pour plus de douceur, tous les savons Galeo sont enrichis au beurre de karité bio et d’huile d’olive AOC, tout aussi bio. Et si je vous dis en plus que ces savons sont élaborés et fabriqués dans le sud de la France, c’est un sans faute.
La qualité et la diversité des parfums proposées par Galeo n’ont de limite que le nombre de vos porte-savons. Alors un bon conseil, filer vite chez votre accessoiriste « salle de bain » pour en faire le plein. Vous ne serez pas déçus, quand vous contemplerez tous vos savons aux couleurs douces et qu’à la douche venue, vous choisirez votre senteur en accord avec votre humeur. Je me sens ramollo, je prends senteur café, je suis tendu, je prends monoi tiare. A vous de voir …
Mais Galeo, c’est aussi des savons spécifiques, comme des exfoliants ou des savons au lait de la ferme ou au lait végétal. Coté ferme, celui au lait de chèvre, pour l’avoir testé, est tout bonnement un régal. Une douceur sans égal pour une toilette tout en volupté. Notre prochain test, sera le savon Galeo au lait d’ânesse, juste pour braire de plaisir sous la douche. Coté lait végétal, Si la douceur de l’amande n’a plus de secret pour personne, vous pouvez tester le savon Galeo au lait de coco, pour un réveil tropical ou au lait de vanille pour des senteurs plus prononcées. Pour notre part, c’est le savon au lait d’aloe vera qui a remporté tous nos suffrages.
Une chose est sûre, il y a du choix, la qualité est là et les prix sont tout rikiki (à partir de 2.70€). Vous pouvez comparer …
Chez CouleurTropiques, les soirées entre collègues sont toujours source de bonne humeur et d’un brin de folie. C’est encore mieux, quand le staff de direction se prend au jeu et pose devant la caméra. C’est d’autant plus jubilatoire, quand les images sont tordues, pressées, bousculées dans tous les sens et que le résultat prête aux rires et autres quolibets, en toute bienveillance, bien évidemment.
J’avoue que j’ai du user de toute ma perspicacité pour publier sur notre blog les photos trafiquées de notre Présidente bien aimée et de notre Directeur Général adoré. Si si, je vous assure, ça n’a pas été de tout repos et il a fallu les travailler au corps. C’est fou, mais au final, ils ont accepté, tant ils ont ri à la vu de leur portrait, revu et corrigé bien entendu. Ils sont méconnaissables, tout simplement grandioses. Il ne manque que le son.
Alors pourquoi se priver de ces moments jubilatoires et pourquoi, ne pas les partager avec nos fidèles internautes. On nous rabâche à longueur de journée que nous devons humaniser le e-commerce, alors humanisons le avec humour. A l’heure des réseaux sociaux et des selfies, chez Couleurtropiques on en rajoute une couche, et on rajoute la « caricature photographique ». Décidément, on a bien souvent une longueur d’avance.
C’est vrai aussi, que dans l’équipe CouleurTropiques, si tous sont de très bons professionnels, en dehors des horaires de bureau, ils savent s’amuser, et quand le photographe en chef laisse le « matos » au webmaster, y’a pas photo, c’est la dérision qui l’emporte. Tous se sont fait croquer le portrait, pour le meilleur et pour le rire. Alors, quand notre présidente, semble s’être gavée aux anabolisants, retaper le nez à la louche et s’être aplatie la face au laminoir, elle ne peut que passer le relai à notre DG bien aimé. Je crois, sans me tromper, que cela va laisser des traces, mais, Il est bon joueur notre DG et heureusement. Alors lui, c’est dans l’étau de l’atelier du SAV du plombier voisin, qu’il a du laisser trainer sa tête, plus proche maintenant d’un punchingball à la bouche tombante. C’est vrai que parfois … Non non je plaisante, il est trop gentil notre DG.
lls m’ont dit oui, en fin de journée, pour cette parution, mais lundi, je ne suis pas sûr qu’à la vue de cet article ils ne changent pas de position, sur le fait de maintenir ou non leur portrait en l’état. En plus, ils ne m’ont rien signé, juste des paroles, des échanges verbaux de fin de soirée très très tardive …
Et si j’avais mal interprété leur accord verbal? si les vapeurs d’alcool avaient quelque peu déformé ma perception de leur « OK »? si tout cela n’était qu’un mauvais rêve… Et si je jouais ma place…
J’ose. Dans le meilleurs des cas, j’aurai droit à des sourires de connivence, dans le pire des cas, j’irai me faire voir ailleurs pour des congés forcés.
Il y a T-shirt et T shirt Hawaien et il y a surtout des T-shirts qui racontent une histoire.
Les T shirts Hawaiens de chez Real Dirt Hawaii sont de ceux là. Imaginez l’histoire: Le 11 Septembre 1992, l’ouragan Iniki, ouragan de catégorie 5 a frappé de plein fouet l’île de Kauai.
Situé dans les collines luxuriantes de Kalaheo, une entreprise appelée Shirts Tropicales fut victime de cet événement climatique. Résultat, l’ensemble de leur stock de T-shirts blanc est totalement souillé, teinté en ocre par les terres et poussières saturées d’oxyde de fer drainées par les pluies diluviennes.
The Real Dirt Shirt était né. Comme quoi, les pires mésaventures peuvent trouver un sens, voire beaucoup plus. Au fil des ans, la marque « Real Dirt Hawaii » a multiplié les modèles sans jamais remettre en question la qualité de ses T-Shirts et son process de fabrication.
Résultat, des T-shits vintage dans l’air du temps, des Tee-shirts hawaiens de très grande qualité, teinté naturellement à la terre naturelle d’Hawaï. Mieux, aussi bien pour homme que pour femme.
* L’ouragan Iniki (source wikipedia.org) de l’hawaiien « ʻiniki » signifiant « vent puissant et perçant » est le plus puissant ouragan connu ayant jamais touché l’état américain de Hawaï1. S’étant formé le durant la longue période d’El Niño de 1991 à 1994, cet ouragan fut l’un des sept ouragans du Pacifique central en 1992.
Iniki devint une tempête tropicale le et un ouragan le lendemain. Après que sa trajectoire se soit inclinée vers le nord, le système frappa Kauai le à sa plus forte intensité, alors que les vents soufflaient à 235 km/h, soit la catégorie 4 de l’échelle de Saffir-Simpson. Il s’agissait du premier ouragan à atteindre Hawaï depuis Iwa en 1982 et le premier ouragan majeur à le faire depuis Dot en 19591. Iniki se dissipa le à mi-chemin entre Hawaii et l’Alaska.
Le centre de prévision des ouragans du Pacifique central n’émit des alertes cycloniques que 24 heures avant l’arrivée d’Iniki. L’ouragan causa pour 1,8 milliard $US (de 1992) de dégâts et six décès. Les autorités rapportèrent 1 400 maisons détruites et 5 000 sévèrement endommagées. Il s’agissait à l’époque d’un des plus coûteux ouragans à frapper les États-Unis et il reste encore un des plus coûteux du Pacifique. Iniki fit ses dommages quelques semaines après le passage de l’ouragan Andrew en Floride, le plus dispendieux à cette époque aux États-Unis.