Ne voilà pas que l’aiguille du barographe prend la direction plein nord. Certes, la direction indique le nord mais c’est pour mieux nous réchauffer. C’est fou, ce que le soleil peut nous donner l’humeur gracieuse en ces temps de disette solaire.
En avril, ne te découvre pas d’un fil, en mai fait ce qu’il te plait et en juin… Bien malin qui pourra nous donner la suite. Chez CouleurTropiques, optimistes comme pas deux, nous lâchons tout simplement : En juin, c’est crème solaire dès le matin… Si si, chez nous, sous nos latitudes tropicales, c’est tout bronzés que nous démarrons le moi de juin. J’en vois déjà qui vont être jaloux, mais bon, quand vous étalerez l’huile solaire sur les courbes de votre dulcinée, nous serons en plein turbin dans notre entrepôt à suer à grosses gouttes pour vous satisfaire. Mais bon, il faut bien une morale à l’histoire.
C’est du coté de Rio de Janeiro, plus précisément sur la plage de Lopes Mendes, que nous avons travaillé notre bronzage dans les moindres recoins … Enfin pas tous, n’exagérons rien. Mais avouons le, le résultat est pas mal, mieux, très réussi. Le monoi et les huiles solaires n’y sont pas étrangers. Attention, ne poussez pas le bouchon trop loin (dans le sable), le soleil reste dangereux et vous risqueriez de rentrer cramer. Vérifier l’indice de protection si vous ne voulez pas tourner à la « biafine ».
Certes, nous trouvions le bikini brésilien un peu trop minimaliste pour nos formes de quadragénaires bien avancés, et c’est tout naturellement que le paréo s’est imposé. Paréo mini ou maxi, c’est le genre de truc, qu’il faut ne pas oublier dans ses bagages quitte à se mettre à 5 pour fermer la valise. En tout cas, contrôlez la qualité, certains très bas de gamme sont carrément transparents. Certes, vous en trouverez à 5€, mais n’allez pas vous demander pourquoi votre voisin de plage a les yeux rivés sur votre serviette. Chez CouleurTropiques, tout nus et bien enveloppés, aucun souci, c’est la paix assurée.
En soirée, beaucoup plus habillés, nous proposons une chemise brodée de chez Bamboo Cay , très smart et pourtant très fun et pour madame une robe de chez Robert J. Clancey, très couleur locale et surtout très estivale. C’est fou ce que le soleil rend les femmes plus belles, à moins que ce ne soient les couleurs.
J’aligne des mots, mais je viens tout juste de m’apercevoir que le soleil a viré à l’orage … Décidément, ce mois de juin, s’annonce capricieux, mais je maintiens : « En juin, c’est crème solaire dès le matin »
Il y a presque 50 ans, en 1969, Rone Rice surfait dans le Pacifique du coté d’Hawaii avant d’avoir la bonne idée de surfer sur la vague des huiles et autres crèmes solaires. Bref, avec les 500$ prêtés par son paternel, il se lança dans la fabrication de produits solaires. C’est dans le garage familial, avec les moyens du bord qu’il mit au point ses premiers cosmétiques. La suite de l’aventure, le succès, et à la clé, le rêve américain. La marque Hawaiian Tropic était née.
Depuis, Hawaiian Tropic n’a cessé de progresser tant au niveau de sa gamme de produits que du nombre de pays où sont distribués ses crèmes solaires et autres compositions que nous aimons tant nous enduire pour nous protéger lors de nos sorties ou farnientes estivales.
Le succès de Hawaiian Tropic ? c’est déjà la qualité de leurs produits, les prix très abordables et surtout les recettes originales, mêlant huile de coco, fruits exotiques et autres plantes aux noms évocateurs. Et puis, il faut bien l’avouer, le packaging n’y est pas étranger. Il est beau en plus d’être vraiment pratique. l
Chez CouleurTropiques, nous raffolons du soleil. Alors …
En attendant que Phébus nous gratifie de plus de générosité, bon vent.
Les commandes de vêtements sur internet sont souvent freinées par la non possibilité qui est offerte d’essayer les habits.Les cybermarchands l’ont bien compris et proposent des tableaux de correspondance de tailles afin d’orienter le choix des cyberacheteurs.
L’étape de la sélection de la taille, doit être murement réfléchie et la sélection ne doit pas se faire à la volée. Une taille bien évaluée, bien mesurée, est synonyme d’un achat garanti sans retour, donc rapide et économique.
Certes, des sites pratiquent le « livraison et retour gratuit », mais,comme toute entreprise à caractère commercial, il faut bien à un instant donné, répercuter ce montant sur les prix de vente. De plus, cela ne supprime en rien, les tracas d’emballage, de déplacement,de temps perdu.
Tout site honnête qui se respecte, inscrit dans ses conditions de vente, les modalités d’échange et il est important pour l’acheteur de les consulter. Si les conditions de vente permettent de protéger le client et de régir le contrat de vente, elles sont aussi présentes pour éviter tout excès, et ce, tant coté marchand que coté client.
En effet, l’entreprise doit procéder à l’échange rapidement, mais l’acheteur doit s’engager aussi, à renvoyer l’article en parfait état, afin que celui-ci puisse être recommercialisé et non jeter à la corbeille.
Heureusement, 99% respecte le « deal », cela permet de conforter le e-commerce.
Pourtant, les cybermarchands déplorent encore quelques retours « limites » voire inacceptables.
Les sites e-commerce sont relativement souples sur les retours. Cependant, certains articles réceptionnés ne peuvent pas être revendus en l’état. 2 solutions sont alors possibles :
–Soit accepter le retour par geste commercial et répercuter l’ensemble des pertes sur les prix de vente.
–Soit, mettre le cyberacheteur devant ses responsabilités et lui retourner sont achat tel que réceptionné.
La position du vendeur est dans tous les cas délicate. Mais rappelons le, ces types de retours sont dans les faits très rares.
Chez CouleurTropiques, sur plusieurs milliers de commandes, ces aléas se comptent sur les doigts d’une main.
Nous en remercions nos clients.
A ne pas faire : une chemise renvoyée en boule, dans un emballage inadéquate.