Innombrable, Le nombre de commentaires à propos de la cravate de travers de notre Président normal.
Normale … elle est de travers … Mais bon, pas besoin d’en faire un flan..by.
Une cravate, c’est déjà un élément du « bien paraître » avant d’être un accessoire de mode, ou tout simplement une note de distinction pour celui qui la porte.
Colorée sur chemise unie, unie sur chemise colorée, à carreaux sur chemise unie … Les variantes n’ont de limites que l’originalité du cravaté …
Il y a mille et une cravates, mille et une occasions de porter la cravate, si différentes soient elles sans parler des nœuds de cravates, indissociables de ce chic morceau d’étoffe. Qu’il soit simple, Victoria, Windsor, Saint-André ou autres … toute bonne cravate a le nœud qu’elle se mérite, même si parfois le résultat attendu n’est pas au rendez-vous.
Pour faire simple …. Tu choisis laquelle ? … « J’ai trouvé chez couleurTropqiques.com »
C’est vrai. Nombre de poids lourds de la vente internet proposent le port gratuit, voire le port retour gratuit. Chez CouleurTropiques, nous avons à maintes reprises, au cours de nos réunions de pilotage abordé cette question sensible.
Certes, il est toujours très agréable de ne pas avoir à débourser des frais de ports lors des commandes sur internet pour le client internaute, mais faut-il encore que cette prise en charge par le e-commerçant soit supportable financièrement. Et c’est sur ce deuxième aspect que le bat blesse. C’est toujours un peu la guerre entre le commercial et le financier, ou comment résoudre la quadrature du cercle … Chacun des 2 camps avançant de sérieux arguments.
En gros, le commercial est toujours dans une optique du vendre mieux pour vendre plus et le financier nous serine les oreilles avec des simulations chiffrées … Chacun prêchant sa bonne parole …
Au final, et chiffres à l’appui, la viabilité du « port gratuit » n’est pas garantie. Explications :
Déjà chez CouleurTropiques, le port facturé au client est celui facturé par notre prestataire, pour ne pas la nommer : La Poste.
Ensuite, CouleurTropiques, afin de proposer des prix accessibles, opère des marges relativement faibles pour le secteur de l’habillement.
En fait, avec mes faibles connaissances en gestion d’entreprise, je vais tout simplement être, le temps de cet article, la porte parole de notre financier maison. Explication :
Si nous prenons un article, une chemise vendue à 36 € nous pouvons déjà, en toute transparence, en décomposer le prix :
– 5.90€ sont affectés à la TVA
– 1.90€ sont affectés au transport
– 1.60€ sont affectés aux taxes de douane
– 0.50€ sont affectés à l’emballage (sachet – enveloppe)
Soit un total de 10 € qui porte le prix de la chemise, de l’article net à approximativement 26,00 €
Cela, sans prendre en considération la marge de l’entreprise, qui permet de faire fonctionner la boutique … Salaire, taxes diverses, Electricité, site internet, maintenance informatique ….
Bref, si nous enlevons 6.10€ de port gratuit, il resterait moins de 20€, pour la chemise en elle-même et les frais de fonctionnement de l’entreprise. Pire, si nous faisions le port aller-retour gratuit, ce serait 6.10€ pour l’envoi + 6.10€ pour le renvoi par l’internaute et 6.10 pour la réexpédition … soit 18.30€ … sans compter les charges inhérentes aux échanges (pliage – emballage..). Totalement impossible.
Certes, certains sites le font, alors pourquoi pas CouleurTropiques ? … Simplement car nous sommes déjà une petite structure qui ne peut négocier des prix planchers avec La ¨Poste et surtout, car CouleurTropiques refuse d’intégrer dans le prix de l’article le montant du transport. En effet, l’internaute achetant 3 articles se verrait facturer par ce biais, un montant supérieur à celui qu’il aurait payé autrement.
C’est dans un souci d’équité que CouleurTropiques facture le port indépendamment de l’article.
Gardons à l’idée que, le transport d’un bien étant assuré par un prestataire indépendant, celui ci ne peut être gratuit.
Le paréo c’est un peu le morceau d’étoffe, qui, quand on y a gouté, devient vite indispensable. Des rondeurs à cacher, une peau en manque de soleil à protéger, un complexe à masquer … Ouf, Le paréo est là, avec les couleurs en plus. Ambiance été.
Mais le paréo, c’est déjà toute une histoire qui trouve son origine en Polynésie. Le paréo était même porté par les hommes, noué autour de la taille avant que les femmes ne s’en emparent pour des tenues beaucoup plus élaborés.
C’est vrai, le paréo se porte de manières différentes, selon l’envie du moment :
– Simplement noué autour de la taille, facile avec les paréos dits de taille mini.
– Enroulé autour du buste masquant généreusement le corps.
– Sur l’épaule de façon asymétrique, un brin négligé mais un tantinet glamour.
– Façon robe, noué autour de la nuque, une manière chique et classique.
– Et pourquoi pas, votre idée du moment, dont seule vous avez le secret
Différent types de paréos sont proposés. Certes, bien peu sont fabriqués sur les bords des lagons tahitiens, même si parfois, cela est indiqué … c’est plutôt du coté de Bali, en Indonésie que sont fabriqués les paréos dits Batik* (technique d’impression particulière).
D’ailleurs, le Batik indonésien a été inscrit en 2009 par l’UNESCO sur la liste représentative du patrimoine immatériel de l’humanité.
Chez CouleurTropiques.com, nous proposons, justement ce type de paréos. Des paréos aux dimensions généreuses confectionnés dans une fibranne de qualité, dessinés et teinté dans la plus pure tradition indonésienne. Par souci du détail, tous nos paréos sont surjetés pour une longévité accrue.
Le paréo étant un produit issu de l’artisanat balinais, des petits défauts de teinture qui n’enlèvent rien à leur qualité peuvent parfois être présents, signe du fait main.
Visitez notre rayon « paréos » et mettez des couleurs dans votre été …
*Le principe du batik consiste (source wikipedia.org):
à dessiner sur le tissu le motif final à reproduire (cette opération n’est pas indispensable)
à protéger des zones du tissu contre la coloration par l’application de la cire chaude
à appliquer des couleurs – par trempage dans des bains de teinture / ou en peignant des teintures directement sur le tissu
à recommencer les opérations 2 et 3 successivement pour chacune des couleurs en allant des couleurs claires aux plus foncées
à la fin : à ôter la cire, soit avec un fer à repasser, soit par trempage dans l’eau bouillante.
Le procédé est aussi appelé « en réserve de cire », ou « coloration par épargne ».
Des procédés complémentaires peuvent être utilisés : emploi d’un fer chaud (au motif parfois complexe : dragon par exemple) pour ôter la cire aux emplacements d’une coloration (souvent pour faciliter le copiage de motifs répétitifs) – simple brisure de la cire pour obtenir de fines lignes – grattage partiel pour obtenir des dégradés, etc.
Au final on obtient un tissu où se mêlent différents tons ou contrastes juxtaposés ou superposés, formant toutes sortes de motifs.