Un Galeo s’il vous plait … Non, je ne suis pas à la pâtisserie, encore moins au comptoir d’une brasserie parisienne. Non, juste devant le stock de mes savons Galeo, pris par une envie de me la faire gourmande. Après les savons Galeo aux laits des animaux de la ferme, les savons Galeo aux parfums exotiques, je suis atteint par la frénésie du citron meringué.
Allez comprendre pourquoi, je ne le sais pas moi même, mais avouez qu’un savon Galeo parfumé au citron meringué, et bien ce n’est pas banal. Il faut l’essayer pour ne pas mourir idiot.
A la sortie de son emballage, c’est un parfum délicat, qui évoque en moi, en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, les tartes au citron meringué de feu ma tantine Marie-Louise. Ces dimanches en famille, où tous, nous nous retrouvions assis à l’ombre d’une tonnelle pour déguster l’agneau Pascal dans notre sud adoré . C’est fou comme un simple savon peut en quelques secondes faire déborder le passé du présent.
Après ce moment « nostalgie », voici le moment de tester en environnement réel ce savon Galeo au citron meringué. Déjà, c’est un savon Galeo, donc un savon « pur végétal » enrichi au beurre de karité bio et d’huile d’olive bio. En plus, il ne contient ni conservateur ni paraben, ça c’est pour la petite histoire. Ensuite … c’est carrément l’extase, douceur, senteur … le plein de volupté, si si. Mieux, ce petit pavé de savon Galeo donne juste la mousse nécessaire pour se laver les cheveux et ainsi prolonger le bien-être.
Et puis, une fois sec, apaisé, c’est tellement agréable de s’entendre dire par sa dulcinée : « mmm tu sens bon, je vais te croquer … »
Merci aux savons Galeo, merci à ces petits cubes de savons, qui au delà de l’aspect purement hygiénique, diffusent tant d’impressions bien réelles ou totalement suggestives pour notre plus grand plaisir.
La dolce vita ou la douceur de vivre, c’est le ressenti de toute l’équipe Couleurtropiques qui est allée se faire voir ailleurs du coté de la ville éternelle. 10 ans que le staff de votre site préféré n’avait pas pris un jour de congés en période estivale, 10 ans que tous se cantonnaient au frima des vacances hivernales. A force de taper sur notre DG et sur notre présidente bien aimée, nos avons décroché une semaine en plein été sous le soleil romain. Désolés pour la gène occasionnée, mais avouez qu’une semaine aoutienne en une décennie, c’est bas bésef …
Quand la chemise hawaïenne se la fait « rital », Rome n’a qu’a bien se tenir et pour le coup nous n’avons pas été déçus. Mon Dieu que Rome est belle, grandiose, variée, animée. Un musée à ciel ouvert où il fait bon flâner sans but précis, tant les monuments et autres curiosités vous tombent dessus sans que vous ayez à sortir le moindre plan. Ce n’est pas le touriste qui visite, c’est Rome qui s’offre à lui avec ses multiples édifices (surtout religieux) ses ruelles étroites et grouillantes, ses innombrables piazza et autres fontaines et cette ambiance indescriptible mais fort agréable.
Du château St Ange à la place St Pierre, du Forum romain au Colisée, du Panthéon au Capitole, du monument Victor Emmanuel II à la fontaine de Trévi, nous feuilletons au fil de l’eau un immense livre d’histoire en 3D. Un livre presque magique qui éveille sans cesse notre curiosité. Une leçon sur un passé que nul professeur, même le plus talentueux, nous avait dispensé. Magnifique.
Rome, c’est aussi des randonnées dans des lieux où le pin parasol est pape. De la promenade du Janicule au parc de la Villa Borghèse (à 2 pas de la villa Médicis), c’est sur les hauteurs, à l’abri d’un carré de verdure que vous contemplerez la ville de Rome et ses multitudes de clochers, d’obélisques et autres coupoles. Une vue à couper le souffle où s’égrènent les siècles. Et puis, une glace en bouche, nous irons nous perdre dans les 80 hectares de végétation. Génial.
Il est temps pour nous, de nous restaurer, d’aborder la cuisine italienne, ses pasta, ses pizzas, ses charcuteries, ses desserts sans oublier ses vins de caractère (rouge, rosé, blanc). Gare au Kg, il ne faudrait pas affoler la balance au retour et rester coincer dans les rayons étroits des entrepôts, dixit notre vénérée présidente. Elle ne perd pas la boule, après un grand vert de Pecorino, même si le thermomètre frise les 40°.
Rome est fabuleuse, mais notre direction veille, pas un jour de rab. C’est à regret que nous refaisons le chemin à l’envers. Dès aujourd’hui, c’est la tête emplie de souvenirs que nous reprenons le traintrain quotidien, gonflés à bloc pour mieux vous servir.
Il y a des histoires drôles et il y a aussi des histoires qui le sont moins. Il y a aussi des aventures de la vie de tous les jours. Celles que rencontrent toute TPE* dans le cadre de son activité. Il y a celles qui vous informent, celles qui vous surprennent, celles qui vous désolent, celles qui vous laissent indifférents et celles qui vous irritent. C’est dans cette dernière catégorie que nous classons notre aventure de jeudi dernier. Explication(s):
CouleurTropiques, c’est avant tout un site internet mais c’est aussi la possibilité de proposer nos produits sur un marché local du Sud Ouest en ces périodes estivales et touristiques. Une manière plus concrète de se faire connaître et de proposer des produits inhabituels sur ce type de canal de vente. Nous avions à notre actif quelques foires ou autres expositions, et vendre à 2 pas de notre entreprise était une curiosité. Autorisation de la mairie en main, notre unique marché annuel s’annonçait sous une météo radieuse.
Mercredi soir, la veille, les produits sont sélectionnés étiquetés, les tréteaux et autres matériels ainsi que l’intendance sont chargés dans les véhicules. Nous sommes fin prêts pour accueillir les chalands. Surtout ne pas se coucher tard, il va falloir se lever aux aurores.